Une visite surprise

Guccio rit aux éclats en guise d'approbation

Maître Silence, je crois que votre passage ici, notre visite à tous en ces lieux en fait, nous sera tous des plus bénéfiques. Je bois à votre santé à tous, et à la santé de la terre sur laquelle nous avons choisi d'établir notre destin!

Puis, en se retournant vers Dylis, il souria plus humblement.

Oui, oui je crois qu'il est temps que je vous raconte mon périple en ces terres, et surtout pourquoi je choisis d'y rester, pourtant si près d'un péril si présent pour moi.

Le Lombard raconta avec passion comment il était né dernier fils de marchand prospère à Milan, comment il s'était rebellé contre l'entreprise familiale et avait surpassé les siens dans le commerce, comment un Ventrue l'avait choisi pour l'étreinte. Son sire lui avait appris moultes choses avant de quitter le monde actif pour le sommeil de la torpeur, laissant à ses childes le soin de gérer ses affaires, et comment Guccio avait hérité des affaires anglaises après de nombreux voyages dans le monde connu. Il raconta avec une sinistre note dans la voix ses mésaventures en Carlisle, comment il avait tenté de ramener une certaine justice dans ces lieux, comment il avait été trahi mais surtout et avant tout combien il avait cru se connaître lui-même, et qu'il s'était à lui-même menti pour finalement payer le plus grand prix. Exilé, pourchassé, l'invitation du Comte d'Artinax lui avait semblé une porte de sortie inespérée et impossible, mais il s'était jetté sur l'occasion pour sa seule survie.

J'en suis encore à me demander pourquoi, en sachant très certainement tout cela sur moi, le Comte a bien voulu m'inviter ici. Il ne sait pas quelle dette je lui dois, et lui devrait encore cent fois même si je le repaye cent fois. Et vous, mes amis, vous ne savez pas quelle dette j'ai envers vous. Plusieurs ici, et bien d'autres encore, ne voient que les beaux sourires, les belles manières et la bourse bien pleine que j'ai à la ceinture et qui représente mon métier, mais je vous en prie, ne vous méprenez pas éternellement!

Je suis Guccio Tolomei, childe d'Edoardo Fortunato, fier fils de Vedartha, membre du véritable clan Ventrue, les porteurs de sceptre, et par le sang qui coule dans mes veines, avant que le temps n'emporte mes cendres dans l'oublie, j'aurai payer ma dette!

Ne vous inquietez Guccio Je croit que vous avez su faire votre place bien que vous vous en etes pas totalement concient encore

Il faudra juste savoir a quel point les anglais vous obligeront a travailler pour eux mais nous vous aideron a leur en donne le moin possible

Feyfther avait relacher la louve... Il ecouta avec attention l'histoire de Tolomei. Il la connaissait deja mais c,était un plaisir de l entendre a nouveau...

Je crois que les anglais devront comprendre plusieurs choses. Qu'il nous influence et tente de nous prouver que leur culture, leur maitre et leur art soit plus grand que ceux de l'écosse, je suis d'accord. Ils peuvent essayer et si en bon missionnaire de Mithras ils font des fideles, good for them.

Mais qu'ils viennent a l'Élysée de Silver Valley, menace nos dirigeant, insulte nos officiers et tenter de forcer leur presence par la soumission des citoyens, alors je dis non. Je sais que certain on recu menace et autre, je crois sincerement qu'il serait plus que temps de faire des exemples avec certain...

Je vous explique ici certaine chose. Apres enquete, je realise que les troupe de Mithras sont loin de silver Valley. Geographiquement il ne reussiront pas a venir ici sans declancher une guerre avec le roi David d'écosse qui possede a l'heure actuelle assez d'argent pour lever des armer mercenaire et assez d'homme pour infliger des pertes substantiel a l'envahisseur. ajouter a ca les comte et seigneur vampirique qui sont eux sur le bord de la frontiere. Meme si les campbelle sont vendu a l'angletterre, personne n'aime voir 15000 homme piller leur champs pour se nourrire et violer leur femme pour se divertir.

Maintenant regardons de l'autre coter de l'angletterre. Ma fille a qui j'ai demander de me renseigner sur la Court de France diriger par le puissance François de Villion, ma fait parvenir des choses interessante. Les français n'ont pas digéré leur récente défaite au main de l'angletterre et si Mithras peu convaincre William II de deplacer des troupes vers l'écosse, il ne pourra le convaincre de les engager contre le roi David d'écosse avec qui il a établi de bon lien.

Si l'angleterre attaque l'écosse, il est fort a parier que la court de France en profitera pour attaquer York, Wales ou Carlisle. Donc ne plions pas trop vite devant les imposantes demonstration des mortels, c'est des vampires que nous devons en grande partie nous occuper. Et jouons egalement sur un autre tableau, les vampires meme loyal, ne prendront pas negligeament d'action qui pourrait les mettres a mort.

Quelque tabassage en regle et un peu d'intimidation pourrais ramener la balance. Comme le disent les Tremere : There is but 1 rule, don't get caught.

Alors qui est partant pour harceler un petit peu les alliers et homme de main de nos chers anglais, juste pour leur enlever se petit sourire fendant et leur donner un peu d insecurité.

Après tout...aucune tradition ne l'en empêche!

J'ai moi-même déjà commencé certains plans dont je parlerai à ceux concerné en temps et lieux. Les Anglais nous envahissent, souillent nos terres et salissent nos noms...j'ai trop de conviction et d'honneur pour me laisser cracher dessus.

Ils ont peut-être marqué le premier point durant la dernière semaine mais se n'est que la première manche. C'est à notre tour de marquer!

Dilys avait écouter l'histoire de Tolomei et continuait a boire le pendant ce temps. Il devait admettre que Guccio était un excellent orateur. En levant son verre vers Guccio il s'exclama :

Ceux qui respect notre mère l'Écosse seront toujours protégé par celle-ci!

Il pris une gorgée avant de continuer...

Mais ses fils doivent veiller sur elle.
Et un peu d'intimidation pourrait effectivement faire des merveille je pense.

Un grand sourir s'afficha sur son visage, montrant seulement la point de ses croc. Puis il repris un air un peu plus sérieux et songeur.

Mais il y a une chose qui me dérange un peu. Si l'armé de 15000 homme aux frontière ne devrait pas attaquer, et qu'il ne sont là que pour nous intimider, si j'ai bien compris les information de Feyfther... vous ne trouver pas que ça ferai une excellent diversion pour cacher une action ailleurs pendant que tout les yeux et les oreille sont braqué dans cette direction?
Car j'ai déjà entendu des rumeur disant que plusieurs guerrier anglais serai déjà caché sur les terre d'écosse depuis un bon moment.

Feyfther avait aussi eu vent de ses rumeurs, mais il savait aussi que des caches d'arme allait sous peu être construite...

Je suspecte aussi une revolte populaire mener par des infiltrateur anglais. Mais sous peu je pourrai pointer du doigt certain endroit ou des armes et des fourniture militaire seront entreposer. Nous pourront sous le couvert du brigandage piller de tel endroit nous assurant que leur utilisation soit réservé au ecossais.

Sur les mots de Feyfter, Ceridwen entra dans la grande salle. Peu à peu, ses habits et son approche avaient changés. On pouvais remarqué son allure plus distinguée et moins sauvage.
Quand elle aperçue une tablé où elle reconnu plusieurs visage dont celui de Moéra et silence ainsi qu'une louve aux pied de Moéra, elle fût surprise et s'approcha. Elle pris place au coté de Guccio et regarda la scène sans interrompre Feyfter.

Crazy Bear continua après Feyfther...

Oui, on m'a parlé de la livraison de ses armes et fourniture de guerre. Il est vrai qu'il serait une chose intéressante que d'intercepter les livraisons anglaises pour les utiliser pour le peuple Écossais. Mais je ne pense pas qu'il serait une bonne idée que votre clan y participe. Vous êtes trop facilement identifiable puis-ce que vous êtes Seigneur sur les terres de Silver-Valley. Je pense que je pourrais possiblement trouver quelqu'un pour une solution de rechange mais nous en parlerons ultérieurement...dans un endroit plus discrêt.

Après ses paroles, l'ours fit signe de bienvenue au membre de son clan qui venait de se joindre à la table.

Aubergiste, une tournée pour cette table!

Guccio se leva d'un bon et regarda l'assemblée devant lui. Une grande réunion venait de se faire, de gens aux idéaux semblables, à la motivation commune. Tous différents, mais tous unis par une vision partagée... il y avait quelqueschose de beau dans tout ces visages...

Vous avez entendu Aubergiste! Une tournée! Et pas de la piquette, sinon je vous menace encore une fois d'acheter la place! HAHA!

Puis l'italien se mit à chanter sur une voix grave dans sa langue natale, quelquechose d'incompréhensible pour ceux qui ne partageaient pas la langue... mais dont l'émotion pouvait très clairement être compris: une fiereté, une appartenance, et surtout un besoin de l'exprimer avec passion.