on m'avait dit

Elle hocha de la tête en approbation et lui présenta même la chaise de sa main.

Tu crois pouvoir appliquer la base que je t'ai montrée tout à l'heure ou tu as besoin que je te montre encore un peu?

Il était en quelque sorte en ptit bohomme sur la chaise, la ou son derrière était suposer être, c'était ses pieds. Il tenta tant bien que mal, par un dessin qu'il voudrait apprendre comment prononcer.

Il avait réussi a prononcer son nom mais cela fesait bientot un an q'il tentait de le faire correctement.....

Valrok tenta de reproduire le son, mais on pu voir plus une grimace que d'Autre chose, comme un enfant qui fait le bruit d'une automobile avec ses lèvres. Il essaya de nouveau et vit Karyanna se frustré.....Il ne comprenait pas vraiment. Il semblerait qu'il venait de faire quelque chose de mal. Il ne comprendrait décicément jamais les femelle de sont espèces....

Contre toute attente, Guccio se retourna vers la porte en lançant presqu'un rugissement, un lion parmis les loups, puis se retourna le regard sur la table, revenant à sa conversation avec Feyfther.

Noir ou blanc, jamais de gris il semblerait... je suis réellement un étranger sur toute la ligne! BAH!

Kameron n'avait pas prêté de réelle attention aux allées et venues qui se faisaient, mais fut destabilisée en entendant un rugissement dans la salle. Elle se retourna vivement et observa Guccio, l'air hébétée, mais quelque chose d'autre semblait s'y mêler.

Je vous ignorait aussi sauvage mon cher Tolomei.

Un autre rugissement venait de devant Kameron, c'était Valrok qui exprimait son mécontentement face au dire de Guccio. Il trouvait qu'il généralisait trop.....

Le sauvage débarqua de la chaise et alla s'asseoir sur le matelat a coté de Sweeney qui dormait. Kameron semblait ailleur donc il la laissa vaguer a se qu'elle voulais faire.

Guccio tourna lentement la tête, et son sourire carnassier revint s'installer alors qu'il regarda Kameron droit dans les yeux.

Il n'en est rien Kameron, je vous assure... enfin... si, peut-être un tantinet. Parfois les mots sont une barrière devant les émotions, il faut donc... revenir à certaines méthodes plus primaires. Je ne voulais insulter personne cependant. Si votre ami veut bien pardonner mon geste certes surprenant de ma part, je suis bien disposé à payer une troisième tournée cette nuit.

De carnassier son sourire passa lentement à tendre, mais son regard ne perdit rien de son intensité.

Kameron se sentit quelque peu désemparée en entendant un second rugissement près d'elle. Ils avaient décidés de lui mener la soirée en agressivité. Elle regarda so nouvel ami un instant, tentant de comprendre ce qui avait bien pu lui prendre. Qu'avaient donc tous ces mâles ce soir?

La réponse de Guccio lui donna une certaine explication.

Elle y avait arqué un sourcil, quelque peu sceptique, ne sachant pas trop quoi en penser.

Je vais aller voir s'il veut bien vous donner son pardon.

Elle se leva de sa chaise et alla voir Valrok dans son coin.

Guccio vous demande pardon de s'être emporté et vous offre une bière si vous le voulez.

VAlrok se redressa poru être debout. Il s'Avanca vers Guccio et tendit la main. Il avait un regard plus calme que lorsque le ventrue avait parler. On pu même croire qu'il allait sourire, mais ce ne fut qu'un faut espoir. Lorsque Kameron avait parler de bière, il hocha la tête.

Après avoir serrer la main du Guccio, il allait réveiller Sweeney pour la tourner de bière. Il le réveilla avec un bon coup de pieds dans les côtes.

Voyant l'acceptation et le pardon, elle se ramena à la table de son père, se tenant debout à l'extrémité.

Vous avez eut la tâche plutôt aisément très cher.

Elle regarda tous les buck vide entassés sur la table non loin de son père. Il avait gardé ses coutumes... malheureusement. Elle eut un rgard quelque peu désapprobateur à cet égare.

Guccio ricana à la remarque de Kameron.

J'ai été chanceux, mais les sincères le sont toujours un peu plus que les autres... Je suis très chanceux. Vous prendrez bien ne serait-ce qu'une coupe de vin en notre compagnie, ma très chère?

Proprietario! La Ta migliore bottiglia per la perla che detieni nel vostro stabilimento! Rapidamente e bene! HAHA!

L'aubergiste ne comprenait pas l'italien, mais il comprenait le client, et la meilleure bouteille possible dans l'établissement fut apportée avec trois coupes. Guccio paya grassement le tenancier en ricanant.

La dame ne parlait pas plus un mot italien, mais la proximité du francais lui donnait une vague idée.

J'ai l'impression que la perle n'aura pas d'autre choix.

Elle eut un sourire en coin semi amusé.

Il est possible d'avoir une place ou votre bestialité vous a fait perdre les bonnes manières? dit-elle à la rigolade.

Guccio ria aux éclats, cette fois avec grande sincérité, puis se leva et offrit sa propre chaise à la jeune femme en faisant une révérence plus que polie.

Et dire que certains ont peur des femmes qui pensent... ils ont probablement peur pour les mauvaises raisons dans tout les cas!

Elle lui souria en passant une main sur sa joue avant de prendre le siège offert.

Et selon vous, de quoi devraient-ils avoir peur exactement si ce n'est pas d'un esprit éfilé?

Guccio laissa un sourire tendre envahir son visage, après avoir savouré la main de Kameron dans son visage, les yeux fermés.

De tomber sous le charme, bien entendu...

VAlrok, ne suivant pas la conversation décida de se retirer dans son coin, voyant que les personne utilisait de smots un peu trop compliquer pour son esprit simple.Il prifita du moment poru quitter la scène vu que personne ne lui portait plus attention de toute manièreé Il baissa la tête en signe de respect puis s'enligna pour aller se coucher sur le lieu gangrels, sans nécéssairement dormir.

Kameron prit la bouteille, en huma le bouquet corsé et le versa dans les trois coupes. Elle tendit l'une d'elle a Guccio.

N'est-ce pas là une crainte que vous auriez du vous-même inspirer à bien des femmes?

Guccio prit la coupe en riant, puis son regard alla se perdre dans le feu de l'âtre, il sembla regarder très loin l'espace d'un court instant.

Peut-être, dans une ancienne vie que j'ai oubliée, qui me reviens de temps à autres.

Il redirigea son regard, impregné du feu qu'il avait un moment fixé, vers son interlocutrice.

Ah oui? Vraiment?

Cette nostalgie ne lui était pas entièrement inconnu. Peut-être avait-elle lu plus de sincérité qu'elle ne l'avait cru.

Elle poussa la troisième coupe vers son père, plus ou moins certaine que ce fut une excellent idée.

Elle prit la sienne et la leva vers Guccio.

Alors à une vie qui finira peut-être par renaitre définitivement de ses cendres!

Elle lui souriait, mais il fut difficile de dire si ce fut par malice ou par amitié.

Guccio cogna doucement sa coupe contre celle de Kameron, puis comme pour solidifier une affirmation silencieuse, et effacer tout doute, il passa son bras autour de celui de la jeune femme, les obligeant tout les deux à se rapprocher pour cette première gorgée.

À une vie que nous célébrerons dans chaque instant...

Kameron laissa couler une faible gorgé entre ses lèvres qu'elle avait mêler à son sang. Définitivement les vins étaient plus agréables à sentir qu'à boire.

Après ce trinque, voyant Guccio à moité penché, Kameron se tassa sur le banc pour lui laisser une place un peu plus confortable question qu'il puisse prendre son aise.

Il était paradoxal de parler de vie alors qu'ils étaient morts...

Alors, quel merveilleux sujet politique est-ce que je viens d'interrompre?

Guccio prit place lentement en ricannant. L'italien semblait presque toujours être envahi par un rire, un sourire... et pourtant ceux qui le connaissait de près savaient que son humour n'avait que d'égal sa mélancolie, et que le tout était mélangé dans une passion titanesque. Cependant, en ce moment précis, il semblait empli d'un bonheur tout simple dans un moment tout simple.

Aaaaaahhhh... pas de politique ma très chère. Votre père est le meilleur ami que je n'ai jamais eut, tout simplement, et il est ironique qu'après presque plus de deux siècles dans la nuit, j'en arrive à retrouver un frère dans une contrée lointaine et qu'en si peu de temps nos voies se soudent l'une à l'autre...

Non pas de politique, perle des océans, non... simplement camaraderie, bon boire, bon verbe et bonne compagnie!

Kameron haussa légèrement un sourcil sous le surnom dont elle venait d'être affectée. Elle était mi amusée, mi curieuse.

Perle des océans... Parlez-moi donc encore un peu de votre pays natal? Ou se situait-il, comment y vivait-on, quels sont les souvenirs que vous en garder? J'aimerais pouvoir me le figurer.