on m'avait dit

À L'ÉCOSSE!

*calle la choppe d'un trait*

Aaaaahhhh... que serait un Seigneur sans ses sujets... bien peu de choses. Garre au petit noblioso qui prends les siens pour acquis, et vive le Roi qui a le même sang que son peuple!

À l'Écosse, mes cousins et cousines des brumes du nord! Viva![/i]

un Seigneur sans sujet a une Couronne de poussière.

vive el'Roi kiâ l'même sang k'son peuple! bien dis el'lombard... ché pas c koi un lombard, mais en tout cas sa l'air mieu qu'un anglais!

HAHAHAHAHAHAHA!!

C'est considérablement différent effectivement mon cher! Les gens de mon peuple, de mon sang, les Lombards, vivent maintenant au nord de l'Italie... plus je vis ici plus je me rends compte que les miens et les Écossais sont si semblables... Le destin est donc bien fait que je puisses boire mon chagrin parmi des gens qui me ressemblent!

l'chagrin d'koi?

Oh douce Écosse... tu souffres et je le vois bien, mon sang de le Mer Méditerranée deviens mélancolique à chacun de tes soubresauts. Jamais une mère n'aura aussi affectueusement adopté un fils que cette nuit mes amis... mais bien vite vous verrez que ce vieux renard ne s'avoues jamais vaincu, et l'orgueuil de l'Italie viendra festoyer bras-dessus bras-dessous avec la fiereté de l'Écosse.

Je veux bâtir ce pays avec ceux qui l'habitent, mais constament le sort conspire à ce que je ne puisses pas offrir les fruits de mon labeur à cette contrée que j'ai prise comme mienne et dont les enfants sont tous mes frères!

L'écosse souffre parce que les loups sont entré dans la bergerie et le berger attend que les loups bouffent un mouton pour réagir... comme si on savait pas d'avance kessé ke sa vient faire un loup pis ki faut attendre qui dévore de koi pour soigner sa petite conscience avant de le chasser! non mais...

kan les anglais mettent leur pied sal en Irlande, on les tabasse jusqu'a ce qui retournent sur leur foutu bâteau!

- SU AUX ANGLAIS !!

La jeune vampire fronca les sourcils. Elle parlait comme l'ivrogne maintenant. Et bien, pourquoi pas. Elle se retourna et commanda une autre bière a l'aubergiste qu'elle ne prit point de temps a boire au complet.

Je ne peux que me réjouir de votre patriotisme... mais une victoire militaire contre les anglais ne me semble pas être la chose qui définitivement permettra à ce pays de faire face à ses adversaires.

Maintenant... je crois que la meilleure façon de tenir les anglais chez eux et qu'ils ne se risquent pas à profiter de leurs acquis, c'est de jouer à leur jeu mieux qu'eux, et ça, ça mes amis, je peux le faire. J'ai l'intention de faire de l'Écosse une puissance commerciale qui pourra imposer ses termes au reste des îles de Bretagne... et voir même au-delà. Je ne suis pas un guerrier, je suis un marchand... et c'est comme ça que je servirai l'Écosse!

Elle se mit a fouiller frénétiquement dans sa bourse avant de réaliser qu'elle n'avait maintenant plus d'écus pour se payer de la bière. Petite moue mossade, elle réappuya ses coudes contre le comptoir, posant un petit regard malicieux a l'intention de Guccio.

- Alors il me fait de plus en plus plaisir de vous découvrir messire Tolomei. Que la chance soit de votre coté.

Puis elle se décolla du comptoir, pour replacer son capuchon sur sa tête et se diriger vers la sortie.

(Vous pouvez encore m'intercepter)

Guccio fit un sourire si large qu'on aurait presque dit qu'en se retournant vers l'aubergiste il allait lui demander s'il pouvait acheter l'établissement.

Raggazo! Une autre tournée! HAHA!

La jeune Gangrel fit volte face pour venir s'accouder contre le comptoir faisant mine qu'elle n'était jamais parti. Parcontre, cette fois ci, elle n'abaissa pas son capuchon. Elle tentait de cacher son sourire d'être près de Guccio. Seule le bout de son menton froid et blanc se faisait voir.

- Grazie.

Dit elle dans le vide, assez fort a l'intention de l'homme qui venait d'offrir la tournée a tout le monde. Le temps était au festoyement dans cette auberge, et cela lui plaisait.

Guccio ricana alors que la petite vampire venait de parler dans son dialecte natal.

Aaaaaahhhhh... quelques mots en italien, petite fauve?

Elle poussa un petit rire alors que son sourire ne faisait que s'accroitre. L'ambiance macabre que laissait planer les bougies n'aidaient pas aux style trop noir de la jeune gangrel. Dans un murmure, elle répéta les paroles du Lombard.

- Petite fauve .... Le fait de connaitre les étiquettes de d'autres place est-il considérée comme déplacer ?

Sa voix se faisait douce, mais froide a la fois.

Guccio lança un sourire carnassier, duquel on aurait eut difficulté à dire quelle émotion y retrouver.

Petite fauve... c'est un surnom qui vous va comme un gant, non?

Elle se retourna, donnant un coup sec vers l'arrière laissant le capuchon noir ébène tomber lassement sur ses épaules. Adoptant le même sourire, une touche de désir et d'amusement dans les yeux, elle s'approcha de Guccio, glissant un doigt sur le torse.

- Et sur quoi basez vous ce nouveau surnom, autre que sur mes grognements d'impatience.

Elle accota un coude sur le comptoir avant de terminer la course de son doigt sur le rebord des lèvres de l'italien.

Le Lombard garda son sourire carnassier bien en place et ricana un bref instant. Il prit doucement la main de Karyana qu'il retira de son visage et qu'il déposa sur le comptoir.

Ma foi, vous êtes des plus entreprenante ma chère... en d'autres temps et d'autres lieux j'aurais été tenté de pousser la chose plus loin, mais malheureusement cela ne m'est pas possible, pour une multitude de raisons. Je vous prierais de ne pas recommencer...

Pour ce qui est de votre surnom, ce n'est que le fruit de mon imagination et votre première impression. Maintenant si vous voulez m'excuser...

Le sourire de l'italien s'effaça lentement alors qu'il alla rejoindre Feyfther à sa table.

Feyfther somnolait presque a sa table. Les mille et une fascetie de certain l'avait presqu'endormie.

Il releva la tete lorsque Guccio approcha... Il poussa la chaise du pied l'offrant a l'italien.

Alors Guccio victime de tes propres charmes. Garde ca pour Belthane hehehe... d'ailleur je vais devoir voir avec lady Eleanor quelle genre de soirée ce sera... et je dois aussi me presenter a mon peuple pour prendre une pucelle du clan ...

Les vieille tradition ne meurent pas... heureusement pour elle, la morsure lui fera croire a une nuit beaucoup plus agreable que ce que mon corps froids aurait pu lui donner...

Feyfther semblais passablement ivre. Une dizaine de buck et pres d'une dizaine de verre de scotch jonchais la table voisine et Guccio compris que l'écossait avait du boire toutes ces consomation. A compter, il y a avait de quoi saouler un cheval et pourtant Feyfther ne roulait pas encore sous la table... Un enorme chien noir pres de lui semblais veiller sur son maitre.

*dort affalé au comptoir*

L'italien qui s'était masqué d'enthousiasme et de joie vivre garda son sourire aux remarques de Feyfther, mais c'était une lourde mélancolie qui semblait avoir emprise sur Guccio. Ceux qui jettaient un regard dans sa direction ne voyaient encore que le fameux renard qu'il était, mais quelqu'un qui aurait été assis directement devant lui, comme le patriarche Brujah, pouvaient clairement voir sa véritable nature.

Mes propres charmes... Feyfther, tu sais très bien qu'il n'y a qu'ici en ta présence que je puis m'exposer, alors que nous sommes face à face mon ami, mon frère. Certes oui, peut-être ai-je su conserver assez de souvenirs de mes jours sous le soleil pour imiter la gallanterie que j'avais à l'époque... mais je vais te donner le bénéfice du doute. Peut-être que oui, je suis toujours Guccio Tolomei, ou peut-être que, comme je le penses peut-être à tort, je ne suis que celui qu'on appelles le traitre de Carlisle...

Le Lombard sorti de son sac une longue pipe et une blague à tabac, et s'affaira à remplir le long objet de bois des morceaux de plantes sèchées, avant d'allumer le tout avec un certain dédain avec la chandelle de la table. Un doux arôme de menthe envahi l'endroit en même temps que la fumée de la pipe, dont Guccio semblait se régaler.

Je dois te remercier pour quelquechose dont tu ne sais rien, Feyfther. Tu le découvrira bien assez tôt sûrement... mais peu importe si je doive souffrir ou me réjouir de l'état des choses telles qu'elles sont ou seront dans le futur, c'est toi que je dois remercier plus que quiconque en premier lieu. Mes propres aptitudes et la chancent joueront le reste de la pièce...

*se réveilla dans un sursaut et hurla a brûle pourpoint*

SU AUX ANGLAIIIIIIIIIIIIIS!!

*avant de s'affaler pour de bon sur le comptoir et se mettre a ronfler*

Juste à ce moment, Kameron refit apparition dans l'auberge pendant que quelqu'un semblait lui tenir gallamant la porte. Elle fit signe à cette dernière personne et traversa la salle.

Elle salua toute la tablée de son père avant d'aller prendre un siège près d'une autre table un peu plus loin.

La personne entra, C'était le sauvage que tout le monde pouvait reconnaitre grace a ses grognements qui revenait. Il voulu suivre Kameron mais ne pu y aller car Il vu Sweeney sur le comptoir. Il le prit en poche de patate et alla le porter sur les couverture et coussin du coté ou les gangrels se réunissent.

Par la suite, il regarda en direction de Kameron et se dirigea vers la table. Il prit une chaise et fit signe si il pouvait s'Asseoir.